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 Ass Stéphane Lamart Communiqués de presse

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MessageSujet: Ass Stéphane Lamart Communiqués de presse   Ass Stéphane Lamart Communiqués de presse Icon_minitimeLun 02 Fév 2009, 14:37

Association Stéphane LAMART « Pour la défense des droits des animaux »
B.P 154 – 94208 Ivry sur Seine Cedex Tel : +33 (0) 1 46 71 18 36
Bureau à Paris +33 (0) 1 44 75 00 47
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BUREAU DE LA PROTECTION ANIMALE
Tel ligne direct : 09 51 72 63 84


COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Le 27 janvier 2009

SUR LA BATTUE DE SANGLIERS DU 27 JANVIER 2009 DANS LA BANLIEUE DE NANCY

(VOIR NOTRE COMMUNIQUÉ DU 23 JANVIER)

Le mardi 27 janvier matin a eu lieu une battue avec des moyens conséquents : présence de la police municipale et de la gendarmerie, de 50 chasseurs et louvetiers et de plusieurs équipes de traqueurs avec de gros chiens. Les médias étaient présents (FR3 Lorraine, l'Est Républicain, France Bleue, etc.). La battue n'a pu être empêchée malgré notre action et celle du RAC (Rassemblement AntiChasse) ainsi que d'autres associations de protection animale.
La préfecture de Meurthe-et-Moselle (la Direction Départementale de l'Equipement et de l'Agriculture) avait élaboré un arrêté ordonnant l'abattage de sangliers dans la banlieue de Nancy. Cet arrêté non publié au recueil des actes administratifs de la préfecture, daté du 20 janvier, n'a été transmis aux villes concernées (Essey-les-Nancy, Dommartemont, Saint-Max, Malzeville, Agincourt, Eulmont et Lay-Saint-Christophe) que le lundi 26 janvier pour n'être affiché que l'après-midi (à Essey-les-Nancy entre 16 h 30 et 18 h 30). Il n'était donc pas possible aux habitants et associations concernés de contester et de faire cesser cette battue en actionnant le tribunal administratif. .
Nous avons demandé deux fois (les 22 et 23 janvier) par écrit à Mme Normandin, Chef du Service Forêt, Chasse, Milieu naturel une copie de cet arrêté sans qu'on daigne nous répondre. Lundi 26 notre avocat finit par joindre au téléphone monsieur Jean-Louis Biou, Directeur adjoint de cabinet du Préfet, qui lui apprit que le fameux arrêté avait finalement été « publié » le vendredi 23 janvier. Comme par « hasard », dans la demi-heure, nous recevions un courriel sur notre messagerie de Paris venant de Mme Normandin accompagné de la copie de ce fameux arrêté.
Cette battue ne put être stoppée malgré la diligence de notre avocat, maître Grillon, qui élabora en urgence une procédure de référé suspension au tribunal administratif. Il envoya dans l'après-midi un fax au Préfet pour l'informer de cette démarche. Mais il était bien trop tard; la préfecture ayant décidé de « passer en force : un responsable de la préfecture dès réception de ce fax contactait maître Grillon pour lui dire que l'arrêté était quand même maintenu. A la suite de cette pratique de la démocratie plus que limite, nous avons donc décidé d'attaquer au tribunal cet arrêté.
On pouvait entendre ce mardi matin, au loin, des coups de feu, mais aussi le cri de détresse des sangliers traqués sans pitiés. Certains riverains obligés de supporter les hurlements de souffrance des sangliers nous ont contactés.
Mais que pouvions-nous faire? On a même entendu un sanglier agoniser pendant de longues minutes. Les chasseurs ont déclaré à la presse que « seulement » trente sangliers ont été abattus et qu'ils envisagent d'organiser une nouvelle battue...
On peut dire que les pouvoirs publics font du beau travail et dire qu'après cette campagne de battue, dans un avenir plus ou moins proche, il faudra certainement recommencer, puisque les terrains des plaignants (voir notre précédent communiqué de presse) sont encore de potentiels gardes-mangés pour sangliers en vadrouille. Une gestion de la nature stupide et archaïque où tuer est le maître mot. Tuons, tuons, il en restera bien quelque chose.
Pascal Cousin
administrateur de l'association
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Le 23 janvier 2009

La préfecture de Meurthe-et-Moselle va bientôt publier un arrêté ordonnant l'abattage d'une centaine de sangliers dans la banlieue de Nancy. Le mardi 27 janvier matin commencera la battue avec des moyens conséquents : présence de la police municipale et nationale, de 50 chasseurs et louvetiers et de plusieurs équipes de traqueurs avec de gros chiens. Il est prévu de partir de la rue Roger Bérin à Essey-les-Nancy et de remonter le chemin d’Abron en se répartissant dans les petits sentiers sans noms pour rabattre les pauvres sangliers (mâles/femelles/petits) vers le plateau de Malzéville, là où les attendront les autres chasseurs pour les tirer.
Cette battue sera organisée à la suite de quelques plaintes de riverains dont les terrains auraient été saccagés.
Nous connaissons les noms de ces plaignants et aussi les lieux où les sangliers ont sévi, nous avons même pris des photos. Certes on peut constater quelques clôtures forcées et champs « labouré s» mais aussi des terrains sans barrière (ou celle-ci mal entretenue donc ouverte) avec pleins de pommes au sol non ramassées : Un garde mangé pour sangliers en vadrouille. Il nous semble qu'il serait quand même plus simple d'entretenir normalement ces terrains privés plutôt que de demander aux pouvoirs publics d'intervenir (c'est encore le contribuable qui va payer).
Cette battue fera suite à des incidents récents survenue dans l'agglomération de Nancy où des sangliers s'approchent de plus en plus des habitations pour trouver de quoi se nourrir, ou parfois pour échapper à une traque :

- Novembre 2008 - Quatre sangliers étaient abattus par un chasseur lieutenant de louveterie dans la cour d'une

maison, au 38 de la rue Parmentier à Essey-les-Nancy en pleine ville malgré les huées et vives protestations des habitants.

- Décembre 2008 - Réfugiés dans la cour de l'école primaire du Mont, rue des Martyrs à Chaligny, une laie et son petit étaient endormis par le vétérinaire du groupe animalier des pompiers. Et relâchés en forêt.
Dans la région on a du mal à contenir une population de sangliers qui a tendance à être envahissante. D'où de multiples battues administratives organisées et les tirs nourris des chasseurs. La population de sangliers doublerait tous les ans en Meurthe-et-Moselle, tellement elle se plairait et serait bien nourrie (dont seulement le fusil pourrait en venir à bout). Dans le département les tensions sont vivent entre les chasseurs accusés de laisser proliférer les sangliers et les agriculteurs accusés eux aussi de pratiques non responsables (pas de clôtures, plantations de maïs en lisière de forêts, etc.); Bref des accusations réciproques; en plus les sangliers se rapprochent de plus en plus du centre de Nancy.
Bref ici comme ailleurs en France on tue massivement les sangliers depuis longtemps mais avec des résultats finalement décevant puisque ceux-ci face de cette pression cynégétique finissent par se rapprocher des agglomérations pour y trouver refuge aux balles et nourriture. Et dès qu'on relâche cette fameuse pression de destruction, les effectifs repartent de plus bel à la hausse. Ne devrions-nous pas en conclure que ces tueries montrent leurs limites et qu'il faudrait passer à une gestion alternative de cette espèce dite « nuisible », une gestion respectueuse du bien-être animal, et des habitants des villes et campagnes (agriculteurs, promeneurs, etc.).
Les tueurs de profession vont dire que c'est impossible et que seul le gros calibre peut régler la question sinon gare à la pullulation algorithmique des envahisseurs. Mais ce n'est pas notre avis ni de celle de quelques scientifiques qui prétendent que des alternatives très puissantes comme la contraception sont possibles et même plus efficaces! Mais il faut la volonté de changer les choses et les moyens financiers qui vont avec pour réussir; ce qui manque actuellement.
RÉGULATION Bientôt un contraceptif pour sanglier ?
Malgré une pression de chasse accrue, les populations de sangliers ne cessent de croître. Le point de rupture a même été atteint dans beaucoup de départements. La contraception pourrait être une solution. Jean Crousillat docteur en biologie humaine et membre de la commission départementale de L'ONCFS du Var, y croit. Le débat est ouvert.
Outre le problème de l'écoulement de la venaison, les chasseurs ne prennent plus grand plaisir à participer à des tels abattages. Et pourtant les consignes sont claires. Dans le département du Bas-Rhin que l'on ne peut pas soupçonner de laxisme en matière de protection de gibier, la Fédération a donné comme directive de tirer tous les sangliers
sauf la laie meneuse. En Bourgogne et en Champagne-Ardenne, des tableaux impressionnants sont également signalés. En Meuse, on frôle les 1,4 M € (9 M F) de dégâts. Dans le Var on ne compte plus les collisions avec les véhicules. Plus de 18 000 sangliers y sont abattus annuellement et les dégâts aux particuliers non indemnisés (terrains de golf, jardins publics et privés dévastés) sont en constante augmentation et dépassent les 450000 € (3 MF). Dans les départements du Rhin et de la Moselle soumis à la loi chasse locale, la surtaxe à l'hectare boisé va encore augmenter pour atteindre 5,33 € (35 F) dans le Bas-Rhin. Du jamais vu! Une situation qui va mettre en péril le budget de bien des sociétés de chasse. La dissuasion (agrainage, dans les massifs forestiers, clôtures électriques) y a montré ses limites tout autant que le tir "d'été" pratiqué à l'affût et à l'approche dès le 15 avril.

…... Sa seconde proposition porte sur la contraception du sanglier. sujet plus délicat et qui. suscite dés polémiques.

Il ne s'agit pas de stérilisations définitives, mais simplement d'empêcher l'ovulation "une mesure qui ne

présente aucun danger pour l'espèce", plaide le biologiste. "Une mesure qui serait modulable dans le temps et suivant

les régions", précise-t-il encore. Mais jean Crousillat reconnaît qu'à l'heure actuelle, il n'existe pas de contraceptif

sélectif et s'il était déposé en sa forme actuelle, mélangé à de la nourriture dans les territoires de chasse, il

aurait également des effets sur d'autres espèces... Y compris sur les animaux domestiques. Ce dernier affirme que

s'il existait une véritable volonté de mettre au point un contraceptif spécifique au sanglier, les chercheurs, avec les

moyens financiers nécessaires, ne mettraient pas plus d'un an à le trouver. Dans ce cas, le produit pourrait être

"distribué" soit aux places de nourrissage, soit administré aux laies capturées dans les cages-pièges.

Dautre part l'Institut berlinois de recherche sur les animaux sauvages (IZW) a mis au point un vaccin visant à

contenir la natalité. "Mais le projet n'a pas trouvé de financement. On nous dit qu'il serait trop compliqué de l'administrer

individuellement aux sangliers", regrette la biologiste Katarina Jewgenow.

Une gestion sans chasse de la faune dans d'autres pays.

La chasse est interdite depuis une trentaine d’années en Inde et dans tout le sous-continent indien, en Afrique de

l’Est, et même, en Europe, dans le canton de Genève. Elle est marginale dans les Pays-Bas. Tous ceux qui ont pu

visiter ces pays ont vu qu’aucun déséquilibre ne résultait de l’interdiction de chasser.


SUISSE

Un territoire sans chasse - Genève sans chasse depuis 1974 En 1974, suite à une initiative populaire lancée par

les milieux de protection des animaux, le peuple genevois a voté l'interdiction de la chasse sur tout le territoire du

canton de Genève. Depuis, la situation genevoise est régulièrement au centre des débats chasse et anti-chasse

dans toute l'Europe. Sur place, après un quart de siècle, le bilan est globalement très positif:

Au niveau des oiseaux d'eau, le nombre d'hivernants a plus que décuplé et il n'y a jamais eu une telle richesse et

diversité de canards sur notre lac et nos cours d'eau. Au niveau de la petite faune (petit gibier), les densités de

lièvres du canton comptent parmi les plus élevées de Suisse et on n'a jamais fait autant d'efforts pour conserver

l'habitat des dernières populations nationales de lapins et de perdrix en collaboration avec l'agriculture.

Au niveau du grand gibier, les populations d'ongulés se portent bien, le chevreuil est présent dans la plupart des

massifs, le cerf a pris pied sur le canton et se développe favorablement et le sanglier est aussi solidement établi.

Le public intéressé par la faune se réjouit de pouvoir observer facilement une telle diversité d'espèces sur le canton

et tout le monde apprécie de pouvoir se promener toute l'année dans nos campagnes sans dérangement ou

risque d'accident de chasse.

Les tirs de régulation effectués par les gardes pour limiter les animaux posant des problèmes importants (les sangliers

en particulier) sont réalisés avec professionnalisme de manière à causer un minimum de stress et de souffrance,

ce qui les différencie nettement des battues pratiquées dans les régions avoisinantes.



Gestion du sanglier à Genève

Mesures mises en place avec pour résultat une forte diminution des dégâts

- Clôturage électrique préventif (une mesure efficace, mais dont l'application doit être rigoureuse)

- Agrainage dissuasif

- Renforcement de la régulation


Tuer c'est tellement plus facile, en apparence seulement car de multiples problèmes surgissent sans cesse.

Finalement, on se plaît à rêver ici, si on appliquait les méthodes du canton de Genève mais sans tuer les

sangliers (chapitre régulation) mais à la place une distribution de contraceptifs sélectifs développés par la

recherche scientifique ? Il est plus que probable qu'on aurait de meilleurs résultats qu'actuellement et en plus,

cerise sur le gâteau, on résoudrait le problème de l'envahissement des villes en maîtrisant cette population urbaine.

Mais il faudrait changer les mentalités et là c'est une autre paire de manches que de contrôler les populations de

sangliers...

Pascal Cousin

administrateur de l'association

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